Liberté de circulation
Il y a un an se tenaient les Assises internationales du roman à la vIlla Gillet à Lyon. Une table ronde intitulée "Le courage de la dissidence" accueillait entre autres la photographe iranienne Reihane Taravati, que son clip d'une chorégraphie sur Happy de Pharrell Williams sur les toits de Teheran avait conduite en prison. Elle témoignait alors du courage de la jeune génération iranienne résolue à prendre le risque de se montrer, et de vivre librement.
Reihane Taravati poursuit ses activités de photographe et a merveilleusement traduit dans une série de photographies le désir de liberté, l'enfermement des Iraniennes.
Nous partageons cette semaine une de ces photographies, qui résonne avec nos expériences du déconfinement, et les questions qui affluent aujourd'hui autour du droit fondamental qui est de circuler librement.
Crédits photographiques Reihane Taravati